Les événements de rentrée approchent et il est essentiel de pouvoir les analyser et les mesurer !
Il ne s’agit pas uniquement d’estimer le ratio entre argent investi et succès engendré, mais aussi de pouvoir adapter et améliorer les éditions futures.
Il existe plusieurs indicateurs de mesure, différents et surtout complémentaires. Parmi eux : le R.O.I, le R.O.T et le R.O.E. À quoi ces derniers font-ils référence ? Comment fonctionnent-ils ? Et comment les utiliser au mieux ?
On vous explique tout !
Le R.O.I. – le retour sur investissement (Return On Investment) – équivaut principalement à la rentabilité financière de l’événement.
Pour qu’il soit positif, il faut que les coûts générés par l’événement (aussi bien humains que matériels) soient inférieurs à ce qu’il a rapporté.
Ce gain s’estime à deux niveaux.
Il est possible de calculer le R.O.I. global à la fin de l’événement ou à différents niveaux du processus d’organisation. Cela permet, à chaque étape, d’identifier la meilleure stratégie parmi plusieurs (la meilleure animation ou le canal d’invitation le plus rentable par exemple).
Comment maximiser son R.O.I. ?
Pour y parvenir, il est essentiel de définir précisément les attentes et les objectifs de l’événement en amont. C’est ce qui permettra de mettre en place le format approprié.
Il est également nécessaire de prévoir une stratégie de promotion adaptée et ciblée. On vise les participants et les intervenants adéquats à se joindre à l’événement, afin d’en garantir le succès pour toutes les parties prenantes.
Il faut enfin penser à fédérer tous les acteurs impliqués dans l’organisation de l’événement.
Le R.O.T., – le retour sur temps investi (Return On Time Invested) – correspond au ratio entre le temps passé et l’utilité/l’intérêt de l’événement aux yeux du participant.
C’est un indicateur particulièrement utile puisqu’il va permettre de se différencier de la concurrence.
Il va encourager les organisateurs à proposer des événements toujours plus qualitatifs et au contenu pertinent pour la cible.
Plus que jamais, le contenu est au coeur même de l’événement. Les participants sont sans cesse sollicités et il est essentiel qu’ils n’aient pas l’impression d’avoir « perdu leur temps ».
Comment maximiser son R.O.T. ?
Le critère essentiel est de se mettre à la place du participant.
Il faut, dès la phase de planification, décrire ses personas (ses cibles idéales); anticiper leurs besoins, leurs attentes et leurs craintes.
Il est essentiel de prévoir un parcours participant clair, efficace et concis : de la phase de l’inscription, en passant par l’enregistrement et les interactions sur place, jusqu’au questionnaire de satisfaction post- événement.
L’intelligence artificielle et les fonctionnalités de matchmaking pourront permettre de garantir des rendez-vous pertinents et de choisir le format adéquat (one to one, workshops….)
Si le concept de l’événement permet d’organiser des déjeuners et des dîners, élaborer un plan de table bien pensé – en plaçant stratégiquement les participants selon les objectifs de l’événement – jouera en faveur du R.O.T.
Le R.O.E. – le retour sur émotion (Return on Emotion) – va mesurer le capital émotion engendré par l’événement sur le participant.
Susciter de l’émotion est essentiel lors de tout événement, et ce, pour différentes raisons :
Comment maximiser son R.O.E. ?
Pour garantir un bon R.O.E., il faut miser sur l’expérience et l’authenticité.
On peut ainsi proposer une immersion afin de passer de l’événementiel à l’expérientiel : un test produit, une gamification de l’événement, faire appel à différents sens (l’odorat, le toucher, l’ouïe) ….
Pour créer un lien avec un marque, raconter une histoire aux participants tout en restant authentique, est une option à considérer. Mettre l’événement au coeur d’un réel storytelling mûri et élaboré en amont, plongera les participants dans un univers positif et réconfortant.
Pour maximiser l’analyse et la mesure de son événement, il y a quelques règles à suivre.
– Différencier les types événements.
Les célébrations (inauguration, anniversaire d’entreprise) ont pour objectif de rapprocher émotionnellement de la marque. Leurs objectifs seront donc plutôt tournés vers le R.O.E. sur le long terme.
Les événements commerciaux (lancement de produit, présentation presse, roadshow) cherchent à transformer les participants en consommateurs. Le R.O.I., dans son aspect financier, sera donc le plus significatif.
Les événements corporate et salons ont pour but de favoriser le networking, renforcer les connexions et partager des connaissances. Ici c’est le R.O.T. qui importe.
– Déterminer des objectifs précis.
Il est impossible de mesurer, sans avoir défini des objectifs précis avant l’événement. Il faut donc se demander pour chaque événement ce qu’on en attend : augmenter les ventes, développer la notoriété de la marque, renforcer le sentiment d’appartenance à la marque…
– Définir des KPIs (Indicateurs de performance).
À chaque objectif ses KPIs détaillés.
Ces derniers sont des indicateurs de mesure précis qui permettent d’effectuer une analyse en s’appuyant sur différents critères tels que la qualité, la rentabilité ou l’efficacité.
Par exemple si l’objectif est d’augmenter la notoriété de la marque, les KPIs peuvent être :
– Croissance des abonnés sur les réseaux sociaux
– Augmentation du trafic vers le site web
– Nombre de retombées presse
– Nombre d’utilisation du hashtag de l’événement…
Et bien d’autres encore !
Ces indicateurs sont complémentaires : c’est donc en mesurant plusieurs indicateurs que l’on peut évaluer la réussite ou l’échec d’un événement.
Ces éléments de mesure permettront de comparer plusieurs éditions d’un même événement (ou différents formats d’événements), afin d’être en mesure d’opter pour le meilleur concept selon les objectifs que l’on souhaite atteindre.
Les événements de rentrée approchent et il est essentiel de pouvoir les analyser et les mesurer !
Il ne s’agit pas uniquement d’estimer le ratio entre argent investi et succès engendré, mais aussi de pouvoir adapter et améliorer les éditions futures.
Il existe plusieurs indicateurs de mesure, différents et surtout complémentaires. Parmi eux : le R.O.I, le R.O.T et le R.O.E. À quoi ces derniers font-ils référence ? Comment fonctionnent-ils ? Et comment les utiliser au mieux ?
On vous explique tout !
Le R.O.I. – le retour sur investissement (Return On Investment) – équivaut principalement à la rentabilité financière de l’événement.
Pour qu’il soit positif, il faut que les coûts générés par l’événement (aussi bien humains que matériels) soient inférieurs à ce qu’il a rapporté.
Ce gain s’estime à deux niveaux.
Il est possible de calculer le R.O.I. global à la fin de l’événement ou à différents niveaux du processus d’organisation. Cela permet, à chaque étape, d’identifier la meilleure stratégie parmi plusieurs (la meilleure animation ou le canal d’invitation le plus rentable par exemple).
Comment maximiser son R.O.I. ?
Pour y parvenir, il est essentiel de définir précisément les attentes et les objectifs de l’événement en amont. C’est ce qui permettra de mettre en place le format approprié.
Il est également nécessaire de prévoir une stratégie de promotion adaptée et ciblée. On vise les participants et les intervenants adéquats à se joindre à l’événement, afin d’en garantir le succès pour toutes les parties prenantes.
Il faut enfin penser à fédérer tous les acteurs impliqués dans l’organisation de l’événement.
Le R.O.T., – le retour sur temps investi (Return On Time Invested) – correspond au ratio entre le temps passé et l’utilité/l’intérêt de l’événement aux yeux du participant.
C’est un indicateur particulièrement utile puisqu’il va permettre de se différencier de la concurrence.
Il va encourager les organisateurs à proposer des événements toujours plus qualitatifs et au contenu pertinent pour la cible.
Plus que jamais, le contenu est au coeur même de l’événement. Les participants sont sans cesse sollicités et il est essentiel qu’ils n’aient pas l’impression d’avoir « perdu leur temps ».
Comment maximiser son R.O.T. ?
Le critère essentiel est de se mettre à la place du participant.
Il faut, dès la phase de planification, décrire ses personas (ses cibles idéales); anticiper leurs besoins, leurs attentes et leurs craintes.
Il est essentiel de prévoir un parcours participant clair, efficace et concis : de la phase de l’inscription, en passant par l’enregistrement et les interactions sur place, jusqu’au questionnaire de satisfaction post- événement.
L’intelligence artificielle et les fonctionnalités de matchmaking pourront permettre de garantir des rendez-vous pertinents et de choisir le format adéquat (one to one, workshops….)
Si le concept de l’événement permet d’organiser des déjeuners et des dîners, élaborer un plan de table bien pensé – en plaçant stratégiquement les participants selon les objectifs de l’événement – jouera en faveur du R.O.T.
Le R.O.E. – le retour sur émotion (Return on Emotion) – va mesurer le capital émotion engendré par l’événement sur le participant.
Susciter de l’émotion est essentiel lors de tout événement, et ce, pour différentes raisons :
Comment maximiser son R.O.E. ?
Pour garantir un bon R.O.E., il faut miser sur l’expérience et l’authenticité.
On peut ainsi proposer une immersion afin de passer de l’événementiel à l’expérientiel : un test produit, une gamification de l’événement, faire appel à différents sens (l’odorat, le toucher, l’ouïe) ….
Pour créer un lien avec un marque, raconter une histoire aux participants tout en restant authentique, est une option à considérer. Mettre l’événement au coeur d’un réel storytelling mûri et élaboré en amont, plongera les participants dans un univers positif et réconfortant.
Pour maximiser l’analyse et la mesure de son événement, il y a quelques règles à suivre.
– Différencier les types événements.
Les célébrations (inauguration, anniversaire d’entreprise) ont pour objectif de rapprocher émotionnellement de la marque. Leurs objectifs seront donc plutôt tournés vers le R.O.E. sur le long terme.
Les événements commerciaux (lancement de produit, présentation presse, roadshow) cherchent à transformer les participants en consommateurs. Le R.O.I., dans son aspect financier, sera donc le plus significatif.
Les événements corporate et salons ont pour but de favoriser le networking, renforcer les connexions et partager des connaissances. Ici c’est le R.O.T. qui importe.
– Déterminer des objectifs précis.
Il est impossible de mesurer, sans avoir défini des objectifs précis avant l’événement. Il faut donc se demander pour chaque événement ce qu’on en attend : augmenter les ventes, développer la notoriété de la marque, renforcer le sentiment d’appartenance à la marque…
– Définir des KPIs (Indicateurs de performance).
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Ces derniers sont des indicateurs de mesure précis qui permettent d’effectuer une analyse en s’appuyant sur différents critères tels que la qualité, la rentabilité ou l’efficacité.
Par exemple si l’objectif est d’augmenter la notoriété de la marque, les KPIs peuvent être :
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